Une crise existentielle se dessine comme une secousse sismique en nos profondeurs, secouant jusqu’aux fondements de notre identité et de notre vision du monde. Imagine-toi soudainement perdu au cœur d’un labyrinthe, sans carte ni boussole, chaque sentier se montrant aussi nébuleux que le précédent. C’est une époque de questionnement intense, d’interrogation profonde sur le sens de notre vie, nos valeurs, nos objectifs, notre place dans l’univers.

Une odyssée en eaux troubles

Lors d’une crise existentielle, il se peut que tu éprouves une profonde détresse, un sentiment d’isolement, de confusion, d’angoisse, de vide, parfois même de désespoir. Comme un navigateur pris dans une tempête en pleine mer, tu peux te sentir à la dérive, sans cap précis.Cliquez ici pour continuer la lecture

On peut choisir de retourner vers la sécurité ou d’aller de l’avant vers la croissance. La croissance doit être choisie encore et encore ; la peur doit être surmontée encore et encore. Abraham Maslow

Les rouages de la résilience : Comme un phénix qui renaît de ses cendres

La résilience est cette formidable aptitude qui permet à un individu de rebondir face aux épreuves de la vie, d’apprivoiser les traumatismes et de transformer l’adversité en force. Ce n’est pas une magie innée, mais une compétence qui se développe, nous permettant de danser avec courage et détermination sur la piste parfois tumultueuse de la vie.

La danse de l’adaptation : Quand la résilience rencontre l’agilité

Imaginons une danseuse agile qui modifie sa chorégraphie au gré de la musique. Voilà une belle métaphore pour décrire la capacité d’adaptation d’une personne résiliente. Cette aptitude à changer de pas en fonction du tempo, à ajuster sa réflexion et ses actions pour répondre adéquatement à des circonstances nouvelles, est une pierre angulaire de la résilience.Cliquez ici pour continuer la lecture

Elisabeth Kübler-Ross était une psychiatre et psychologue suisse-américaine renommée, née en 1926 et décédée en 2004. Elle est particulièrement connue pour ses recherches et son travail sur le processus de deuil.

Au cours de sa carrière, Kübler-Ross a observé et travaillé avec de nombreux patients atteints de maladies en phase terminale, ce qui l’a amenée à explorer de près les réactions émotionnelles et psychologiques face à la mort. À partir de ses observations, elle a développé une théorie basée sur cinq étapes du deuil, qui sont devenues une référence dans le domaine du soutien et de la compréhension des personnes confrontées à des pertes importantes dans leur vie.

1 – Le déni : Un premier pas vers l’acceptation

Lorsque la vie nous confronte à une perte, qu’elle soit liée à la disparition d’un être cher, à une rupture amoureuse ou à un échec, il est naturel de ressentir une réaction initiale de déni. Nous refusons d’accepter la réalité de ce qui s’est produit, comme si agir comme si rien ne s’était passé pouvait inverser le cours des choses. Par exemple, après une rupture amoureuse, il est fréquent de se convaincre que la relation n’est pas réellement terminée et de continuer à agir comme si notre partenaire était toujours présent.Cliquez ici pour continuer la lecture